• Orchestre de Chambre Jean-Louis Petit. Fondé en 1958 l’Orchestre a célébré en 2008 ses 50 années d’activités.

     

    Dès sa création l’Orchestre a entrepris une action de décentralisation en organisant des saisons de concerts dans la région Champagne-Ardennes, dans la région Picarde et en région parisienne avec un répertoire de musique « du Grand Siecle » qu’il a enregistré en 33 disques dès 1963 pour DECCA international. Aujourd’hui l’Orchestre est toujours très actif. Rien qu’à Paris on a pu l’entendre l’an passé au cours de 33 concerts d’oratorio

     

    http://jeanlouispetit.com

     

     

    Extraits des enregistrements de la Collection "Grand Siècle" de DECCA

    http://www.youtube.com/watch?v=nUnKjgMxxuI

    LES MUSICIENS DE L'ORCHESTRE

    Jean-Michel LOUCHART, titulaire du Grand Orgue de l’église Saint Marcel à Paris, joue et enregistre régulièrement, à l’orgue et au clavecin, au sein de divers orchestres et formations de chambre.

     

    Frédéric VISCONTE, violoniste, Elève d’Etienne Verlet et Pierre Hofer, Frédéric Visconte a obtenu son prix de violon à l’école nationale de Créteil en 1981. Trois ans plus tard, il intègre l’orchestre de la Garde Républicaine où il devient co-soliste. En 1993  il devient membre de l’orchestre de Chambre Jean Louis Petit.  Il est depuis 2002 violon solo de l’orchestre départemental de l’Oise

     

    Nathalie DELAY –VISCONTE, Violoniste. Issue d’une famille de violonistes, Nathalie Delay-Visconte, élève de Gérard Jarry et Marie-Annick Nicolas, a fait ses études musicales au CNR de Rueil-Malmaison (92) et au CNR de Paris dans la classe de Huguette Déat

     

    Jacques VANDEVILLE, Hautbois. Soliste de l'Orchestre Philharmonique de Radio-France pendant plus de vingt ans, le Hautboïste Jacques Vandeville a remporté plusieurs grands prix Internationaux dont celui de Munich en 1954, Moscou en 1957, Vienne, Prague et Genève en 1959. Il a également remporté le Grand Prix d'Honneur au Concours International de musique de Chambre à Colmar

     

    Szuy CHEN, flûte traversière. Après avoir terminé ses études à Taïwan dans la classe de Christine Yu, Szuyu Chen entre à l'Ecole Normale de Musique de Paris dans la classe de Pierre-Yves Artaud puis poursuit ses études dans plusieurs conservatoires de la région parisienne dans les classes de Frédéric Hochain, Frédéric Chatoux et Patrice Bocquillon et ses études de piano dans la classe de David Chevalier.

     

    Patrice BOCQUILLON, Licence de Concert de l’Ecole Normale de Paris, est aussi à l’aise dans le répertoire baroque et classique que dans le répertoire contemporain. Il utilise avec bonheur les 4 flutes traversières.

     

    Jean-Jacques WIEDERKER, premier prix du CNSMP, fait partie d’une lignée de violoncellistes réputés. L’un de ses ancêtres, à la fin du XVIIIème siècle, fut un maillon important dans l’évolution de la symphonie française. Son grand-père et son père furent aussi des violoncellistes réputés.

    Dominique VIDAL, Clarino. Après des études musicales à Clermont-Ferrand, Dominique VIDAL fait ses études au Conservatoire National Supérieur de Paris où il obtient un Premier Prix de clarinette à l'unanimité dans la classe de Guy DEPLUS et un Premier Prix de musique de chambre dans la classe de Maurice BOURGUE. Il y poursuit également le troisième cycle de musique de chambre dans la classe de Christian LARDE au sein du quintette à vent André JOLIVET.

     

    Jean-Louis PETIT, Elève d’Olivier Messiaen, d’Igor Markevitch et de Pierre Boulez, Jean-Louis Petit a écrit pour tous les instruments, notamment des oeuvres associant les sonorités les plus diverses au sein d’effectifs instrumentaux très ouverts et souvent peu conventionnels, allant du simple duo aux groupes homogènes ou hétérogènes de plus de vingt instruments solistes. On lui doit aussi des oeuvres d’orchestre, des concerti, des oratorios, deux opéras. A ce jour son catalogue comporte 418 oeuvres.

     

                                   Ses oeuvres sont généralement construites à partir d’un matériau très structuré qui associe les modes mélodiques d’Olivier Messiaen aux échelles à 12 sons d’Arnold Schoenberg. La synthèse de ces deux principes, travaillée dans la perspective d’une bonne sonorité dans la conduite  rationnelle et expressive du langage (termes qui s’entendent dans leur signification traditionnelle), aboutit à une musique à l’usage des instruments utilisés sans artifice, qui pourrait représenter un nouveau classicisme savant

     

     


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